Passer la publicité
Passer la publicité
Réservé aux abonnés

Rémunération, simplification, concurrence déloyale... Que sont devenues les promesses faites aux agriculteurs ?

Sujets
Pour faire rentrer les tracteurs dans les fermes, le gouvernement Attal avait pris au printemps une soixantaine d’engagements auprès du monde agricole.
Pour faire rentrer les tracteurs dans les fermes, le gouvernement Attal avait pris au printemps une soixantaine d’engagements auprès du monde agricole. FREDERICK FLORIN / AFP

DÉCRYPTAGE - La dissolution de l’été a ralenti l’exécution des engagements pris par le gouvernement Attal en début d’année. Mais certaines sont bien actées.

« Toutes les promesses seront tenues». Soixante-douze heures avant une nouvelle phase de mobilisation des agriculteurs un peu partout en France, le premier ministre Michel Barnier l’assurait vendredi: peu importe que les promesses aux 390.000 paysans de France au printemps aient été prises par un autre gouvernement, elles seront bien honorées. Même si l’heure n’est plus aux largesses financières.

L’engagement est fort, alors que l’ancien chef du gouvernement Gabriel Attal avait acté pas moins d’une soixantaine de mesures pour faire rentrer les tracteurs dans les fermes, au printemps dernier. Soixante-deux plus précisément. Celles-ci allaient d’une loi pour faciliter l’installation de nouveaux paysans à des mesures de simplification administrative, en passant par des allègements fiscaux sur le Gazole non routier (GNR) ou sur l’emploi de travailleurs des saisonniers. L’État avait aussi promis d’assurer un…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 91% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Rémunération, simplification, concurrence déloyale... Que sont devenues les promesses faites aux agriculteurs ?

S'ABONNER

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
Passer la publicité
Passer la publicité
81 commentaires
  • Booz

    le

    Rien n'a changé ou presque sous le gouvernement Attal pour les agriculteurs et c'est pas mieux sous Barnier!

  • MacronDemission

    le

    On les a gâvés d'aides, puis on les jette aujourd'hui. Et oui, fallait s'inquiéter des beaux parleurs, les politicards qui vendraient père et mère pour se faire élire.

  • MacronDemission

    le

    Ils ont l'air de débarquer, découvrir le pot aux roses. On est bien en France, pays d'assistés qui "ho misère", "on nous aurait menti" ? ? ?

À lire aussi