Délinquance : ces mineurs dont l'école et la justice ne savent que faire
ENQUÊTE - Internats, centres fermés… Depuis vingt ans, les politiques peinent à trouver des dispositifs efficaces pour les prendre en charge.
L’internat ou la solution miracle de tous les gouvernements en quête de solution pour l’enfance à la dérive. L’actuel premier ministre n’a pas manqué à l’appel. Pour les mineurs « sur la mauvaise pente », Gabriel Attal propose une solution clé en main : un nouvel internat, qui permettrait de « couper (ces jeunes) de leurs fréquentations » et leur éviterait de « plonger dans la délinquance ». Le 30 janvier, dans son discours de politique générale, il faisait état de « 50.000 places » d’internat vacantes dans l’Éducation nationale. Encore faudrait-il savoir quelle place peut bénéficier à quel profil de mineurs puisque tant d’établissements et de politiques se superposent.
Il y avait déjà les internats dits « tremplin », ces structures imaginées depuis la fin des années 1990 pour les élèves « hautement perturbateurs », où interviennent conjointement des personnels de l’Éducation nationale et de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). Mais aussi les internats « d’excellence »…
Figarette
le
Les inscrire d'office dans une ONG et les envoyer soigner les lépreux à Calcutta ?
Sans-dents
le
Tout comme pour les adeptes des sectes, il faut admettre qu'il y a des personnes rigoureusement irrécupérables ...
Bridgi
le
Pas de solution ? C'est certain que le gouvernement n'en cherche pas et c'est la raison pour laquelle il accueille à bras ouverts d'autres mineurs venus d'ailleurs....... à ce rythme là la situation ne risque pas de s'améliorer, je ne sais pas pourquoi il faudrait voter pour ces incapables