En quête de consensus, Macron convoque les partis
Le chef de l’État réunit ce mercredi les partis pour tenter de trouver une issue politique aux crises que traverse la France.
L’école de la Légion d’honneur abritera-t-elle, ce mercredi, une relance inespérée du quinquennat d’Emmanuel Macron? À Saint-Denis, le chef de l’État s’en remettra une nouvelle fois aux oppositions pour faire émerger une concorde loin d’être évidente. Reçus collectivement à 15 heures, les onze chefs de parti représentés au Parlement, les présidents de l’Assemblée nationale, du Sénat et du Conseil économique social et environnemental (Cese), ainsi que la première ministre échangeront à «bâtons rompus» avec le chef de l’État.
À huis clos, sans image, sans collaborateur ni expression publique à l’issue. «Une discussion franche» lors d’une «rencontre inédite et loyale», garantit l’Élysée, qui tient à dissocier ce rendez-vous de la situation politique au Palais Bourbon, où Emmanuel Macron ne bénéficie pas d’une majorité absolue.
Il ne s’agit pas cette fois de tenter de former une coalition. Afin de trouver des «consensus» ponctuels, la présidence prévoit trois temps de dialogue: d’abord sur la…
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an.co
le
Si c'est comme d'hab, Macron fera semblant d'écouter dans une belle mise en scène mais fera ce qu'il a déjà décider !
Rackam
le
Je suis conscient qu’il est très difficile de gouverner la France. Mais aujourd’hui plus que jamais il existe un problème principalement humain qui s’appelle Monsieur Macron. Il ne coche (à mon sens) aucune case à part pour les hommages mortuaires pour lesquels je lui reconnais une certaine habilité. Je prône une opposition forte, il ne faut PAS l’appuyer et je ne voterai dans le futur à aucun politique ayant contribué à permettre à Monsieur Macron de continuer ses actions (la plupart du temps discutables) et surtout ses inactions, qu’il soit transfuge de gauche, de droite ou de l’extrême centre.
Tbo
le
Suis je donc le seul à trouver l'initiative intéressante? D'autres pays ne sont dirigés que grâce aux compromis, je trouve qu'il est temps que les représentants de tous bords politique discutent et essaient de tracer une direction la plus commune possible... au lieu des invectives et contestations constantes?