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Ces salariés «prisonniers» du télétravail

De nombreux salariés ne supportent plus qu'on leur impose le télétravail permanent.
De nombreux salariés ne supportent plus qu'on leur impose le télétravail permanent. 333044483/agcreativelab - stock.adobe.com

TÉMOIGNAGES – Loin de leur bureau depuis bientôt deux ans, ils ne voient pas le bout du tunnel. Ils confient au Figaro leur vie quotidienne sans collègue.

La rentrée n'a pas la même saveur pour tous. Certains salariés se sont réinstallés – pour de bon – au bureau, avec un bon dosage entre télétravail et présence sur site. Certaines entreprises, au contraire, jouent les prolongations et maintiennent leurs collaborateurs en télétravail intégral afin de prendre « le moins de risques possibles. »

D'un côté, la reprise de la vie de bureau façon « monde d'avant », avec ses collègues, ses réunions, ses déjeuners qui font le sel des journées de travail. De l'autre, des salariés contraints de rester chez eux. Pas de choix possible. Ces « prisonniers du télétravail » se confient.

Pour Céline*, prendre rendez-vous dans un café ou au restaurant est un acte transgressif. Dans son entreprise, les consignes sont claires et strictes : ne pas s'exposer inutilement et prendre le moins de rendez-vous possibles.

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83 commentaires
  • JulienH

    le

    C'est fatiguant les gens qui se plaignent... Il y a toujours quelque chose. Mais ici c'est presque une sorte article qui servira à d'autres managers qui veulent que les télétravailleurs rentrent au bureau. Bref il faut regarder tous les cas de figure et ne pas faire des généralités avec seulement quelques témoignages.

  • anonyme

    le

    Je ne crois plus que le problème soit la délocalisation.
    Mais plutôt la baisse de salaire qui en résultera puisque le salarié pourra s'installer où cela coûte moins cher.
    Et pour ça je suis vert de ne pas pouvoir quitter la région parisienne à cause de mon épouse qui fait à Paris de l'aide à la personne. Contrairement à d'autres collègues.

  • YanivL.

    le

    Pourquoi ces gens ne démissionnent pas? Il y a plein d'offres d'emploi en ce moment.